L'architecture OpenIDM est très orientée "boîte à outils", à la différence de solutions telles que IBM Security Identity Manager.
Même si depuis la version 3.1 on dispose d'une interface d'administration, qui permet de réaliser une partie du paramétrage de la solution - notamment au niveau des mappings, une grande partie de la mise en oeuvre et de la personnalisation passe par des fichiers de configuration json et des scripts, javascript ou groovy.
Cette approche permet cependant de garder la main sur la solution qui n'a pas ce côté "boîte noire" que l'on peut retrouver ailleurs.
Nous verrons ici plusieurs aspects de la personnalisation, tels que :
- la création de nouvelles règles de validation de données
- la création d'un endpoint spécifique, très utile pour simplifier les opérations via des requêtes REST
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